Julien Doré intervient après le vol de Pandi Panda
Lorsque Chantal Goya a annoncé la disparition de son costume emblématique de Pandi Panda après un concert à Sausheim (Haut-Rhin) en avril, la nouvelle a suscité émotion et inquiétude chez les fans. Pour lui venir en aide, Julien Doré, connu pour sa générosité et sa bonne humeur, a immédiatement réagi en lui envoyant un message vidéo sur Instagram.
Un geste solidaire et symbolique
Dans son message, Julien Doré prend la parole avec affection : il propose à Chantal Goya de lui offrir l’un de ses propres costumes de panda – il en possède deux – afin qu’elle puisse continuer à incarner le personnage sur scène. « C’est cadeau, c’est bibi qui offre, c’est normal », déclare-t-il avec humour et bienveillance, soulagé que la chanteuse puisse retrouver un Pandi Panda, même temporaire.
Un panda de secours apprécié
Chantal Goya, visiblement touchée, répond avec reconnaissance au geste de Julien Doré, qualifié de « joli geste d’amour pour tous les enfants ». Son costume symbolise un compagnonnage musical depuis 1984, et cette initiative permet de garantir la continuité des shows pour les plus jeunes publics. Le panda temporaire devient ainsi une alternative chaleureuse en attendant de retrouver l’original.
Quand la pop modernise une figure enfantine
Le geste de Julien Doré dépasse le simple prêt matériel : il marque une transmission intergénérationnelle. Star contemporaine au ton léger, il porte un regard affectueux sur l’histoire de la chanson pour enfants incarnée par Chantal Goya. Ce mélange de respect et de spontanéité reflète la rencontre de deux univers, valorisant à la fois la tradition des spectacles jeunesse et l’élan moderne du soutien artistique.
Le mystère de Pandi Panda demeure
Tandis que l’enquête se poursuit pour retrouver le costume disparu, la proposition de Julien Doré permet à Chantal Goya de poursuivre son tournage. Mais les fans espèrent que l’original fera bientôt son retour. En attendant, cette solidarité artistique offre une belle réponse à l’incertitude, rappelant que l’empathie et le partage restent fondamentaux dans le monde de la création.