Toute L'histoire De La Peinture En Moins De Deux Heures, Par Hector Obalk - Tournée

Hector Obalk à Lyon : l’art en accéléré, grandeur nature

Depuis notre scène lyonnaise, nous sommes heureux d’accueillir l’événement d’histoire de l’art le plus vif et le plus jubilatoire du moment : “Toute l’histoire de la peinture en moins de deux heures” par Hector Obalk. Critique, conteur et œil redoutablement affûté, l’artiste déroule devant le public un véritable road trip esthétique, servi par une projection monumentale et une bande-son choisie, parfois jouée en direct. Ici, le public devient complice de la démonstration : les zooms millimétrés, les enchaînements fulgurants et l’humour pince-sans-rire transforment une fresque de plusieurs siècles en spectacle vivant, précis et ludique. Notre salle offre l’écrin idéal pour ce concert visuel, où la qualité d’image et l’acoustique renforcent l’intimité avec les œuvres. À Lyon, ce rendez-vous s’adresse autant aux fidèles d’Obalk qu’aux curieux prêts à se laisser surprendre par un format qui bouscule les codes de la conférence traditionnelle. Nous préparons un accueil soigné, de la visibilité parfaite depuis chaque rang à la précision technique des projections, afin que chaque détail d’un Botticelli, d’un Caravage ou d’un Matisse surgisse comme si la toile était à portée de main.

“Toute l’histoire de la peinture en moins de deux heures” : un format unique

Le dispositif scénique mis en place par Hector Obalk s’appuie sur une collection d’images haute définition et un montage sur-mesure qui crée un fil narratif d’une clarté désarmante. Des primitifs italiens aux artistes contemporains, la trajectoire embrasse cinq, six, sept siècles d’inventions picturales sans jamais sacrifier la nuance. En quelques associations d’images, l’orateur relie Giotto à Raphaël, Rembrandt à Velázquez, Delacroix à Manet, Monet à Rothko, Picasso à Basquiat, ou encore Warhol à Koons, révélant les lignes de force qui traversent les époques. Ce n’est pas une leçon figée : c’est un spectacle, avec punchlines, comparaisons audacieuses et une musicalité du discours qui répond aux musiques diffusées. Les gros plans révèlent matière, glacis, repentirs, et le spectateur perçoit enfin ce que signifient l’invention d’un geste, l’évidence d’une composition, la radicalité d’une couleur. À Lyon, la scène et l’écran géant permettent à la foule d’entrer dans l’épiderme des tableaux ; nous veillons au rendu chromatique et à la netteté, pour que chaque tremblement de pinceau soit lisible, du sfumato de Léonard aux éclats fauves de Derain.

Au chapitre des actualités, l’artiste enrichit constamment son spectacle : la tournée 2024-2025 voit apparaître de nouvelles séquences, des œuvres fraîchement rephotographiées et des rapprochements inédits inspirés de ses repérages dans les musées européens. La soirée lyonnaise profitera de ces ajouts récents, avec des panoramiques plus fins, des comparatifs élargis et une dramaturgie visuelle resserrée. Selon les dates, un accompagnement musical peut souligner la dynamique des images, jouant l’écrin rythmique qui soutient l’argumentaire d’Obalk, toujours précis, souvent impertinent, jamais gratuit. Nous calibrons nos moyens techniques pour rendre cette alliance image/son aussi fluide qu’en studio, du silence nécessaire aux respirations oratoires jusqu’à l’impact des crescendos. Pour notre public, c’est l’occasion rare de voir dialoguer chefs-d’œuvre et regard contemporain : comprendre comment un détail chez Poussin éclaire un geste chez Cézanne, comment l’évidence d’un cadrage chez Vermeer annonce certains partis pris de la photographie, ou pourquoi un rouge de Titien demeure, aujourd’hui encore, un événement. À Lyon, nous nous mettons au service de cette expérience immersive afin que la découverte demeure aussi accessible qu’exigeante.