Onslaught

Onslaught en furie au Rockn'Eat : notre scène prête pour le thrash britannique

Au Rockn'Eat, nous cultivons une passion viscérale pour les concerts qui sentent la poudre et la sueur, et accueillir Onslaught s’inscrit pleinement dans cette exigence de sincérité sonore. Pionniers du thrash britannique, les musiciens débarquent chez nous avec ce mélange de précision et de sauvagerie qui fait trembler les murs et galvanise le parterre. Notre équipe a pensé l’accueil et la configuration lumière pour une proximité maximale avec le public, afin que chaque accélération rythmique, chaque riff incisif et chaque break de batterie frappe en plein cœur. À Lyon, notre scène est conçue pour les groupes qui ne trichent pas, ceux qui envoient sans filtre une énergie brute et contagieuse, et Onslaught fait partie de ces formations qui transforment un club en véritable chambre d’écho métallique. Dès l’ouverture des portes, nous mettons en place les meilleures conditions: backline affûté, sonorisation réglée pour la vitesse et la netteté, et une fosse prête à vibrer au tempo d’un thrash intensément physique. Ici, la promesse est simple: immersion totale, décibels maîtrisés et communion frontale entre groupe et public.

Sur le plan artistique, Onslaught arrive au Rockn'Eat porté par l’élan créatif ouvert avec Generation Antichrist, un disque dont la dynamique live est taillée pour notre salle. Les titres récents ont une place de choix: Religiousuicide, aux riffs tranchants et au refrain rugueux, Bow Down to the Clowns, avec ses variations rythmiques qui font monter la tension, et A Perfect Day to Die, qui condense l’ADN furieux du groupe tout en ouvrant des angles plus contemporains. Nous suivons de près cette trajectoire qui mêle héritage et renouvellement: un line-up affûté, une écriture recentrée sur l’impact immédiat, des breaks pensés pour la scène, et une envie manifeste de confronter les nouveaux morceaux à l’épreuve du public. Dans notre configuration, chaque nuance du chant rageur, chaque contretemps de batterie, chaque ligne de basse martelée trouve sa place, au service d’un set qui assume l’intensité et l’urgence. C’est cette actualité vivante, tangible, que nous sommes heureux de mettre en lumière: un groupe en mouvement, bien décidé à convertir nos murs en caisse de résonance de sa période la plus offensive.

Un set calibré pour le Rockn'Eat, entre brûlots récents et classiques implacables

Nous aimons quand un concert raconte une histoire, et le passage d’Onslaught au Rockn'Eat promet une narration en trois actes: l’uppercut des nouveaux titres, la célébration des classiques, et la montée en transe collective. Attendez-vous à une circulation fluide entre des hymnes fondateurs et des coups de semonce d’aujourd’hui: Power from Hell, The Force, Killing Peace, 66Fucking6, dialogueront sans détour avec Religiousuicide, Bow Down to the Clowns et A Perfect Day to Die. Côté salle, notre plateau rapproché favorise le face-à-face avec les musiciens, la fosse reste lisible pour un mouvement d’ensemble sécurisé, et le bar garde l’esprit Rockn'Eat: convivial, sans chichis, au service d’un public qui vit le metal à 200%. L’éclairage est pensé pour souligner les accélérations et les breaks, et notre diffusion resserrée met en avant la lisibilité des guitares à haute vitesse sans sacrifier le coffre de la section rythmique. Nous savons que beaucoup viennent ici pour ressentir, pas seulement entendre: un chant qui prend à la gorge, des chœurs scandés au coude à coude, et ce moment suspendu où le dernier riff résonne encore, amplifié par l’énergie de la salle.